Spectacles & Coulisses : Les coulisses de Cosmix 2.0 : lasers, LED et ballet numérique à Claye-Souilly
Monter Cosmix 2.0, ce n’est pas juste poser quelques projecteurs. C’est mettre en place une régie lumière pointue, synchroniser les LEDs, calibrer les lasers, tester les signaux DMX, connecter les pads de pilotage… C’est un ballet numérique, millimétré, chorégraphié avant même que les artistes ne montent sur scène.
À Claye-Souilly, le 25 mai dernier, nous avons sorti Cosmix, mais la technique, elle, était bien la version 2.0 : le cœur narratif l’ancien profitant de l’avancée des technologies visuelles.
Dès 9h, les ordinateurs tournaient. La régie lumière calait ses séquences, l’équipe jonglait (littéralement) entre les câbles, les lasers, les écrans et les répètes. On a capté des moments underground de tout ça, où l’on devine que la magie scénique commence bien avant le lever de rideau.
Cosmix 2.0, c’est une partition collective. Écrite par Marjorie Nakache, Shay et Vincent Mézières, elle mêle poésie visuelle et précision technique. Un espace-temps suspendu où chaque pixel de lumière répond à un geste. Heureusement pour gérer cette matrice complexe, nous avons la chance d’avoir notre régisseur aux super-pouvoirs: Simon Maulevrier. Tout cela n’aurait pu voir le jour sans notre co-producteur galactique: le Studio Théâtre de Stains.
Derrière ce résultat, il y a un protocole technique exigeant, mais aussi une passion pour la scène, pour le spectacle vivant, pour cette idée simple et forte : faire briller les yeux des enfants.
Cosmix, c’est du jonglage. Mais pas que. C’est aussi de l’ingénierie lumière, du code, de la scénographie, de l’intuition, de la patience et un soupçon de folie.
Envie d’en savoir plus sur la mécanique derrière la magie ? Jette un œil à la page Spectacle jeune public — ou viens nous voir lors de notre prochaine date !
